RENCONTRE AVEC GALA HERNÁNDEZ LÓPEZ

A propos

  • Lieu : Pathé Wilson
  • Date : 09 octobre 2025 à 18:00
Collaboration :
Université Toulouse Capitole

Cinespaña et l’Université Toulouse Capitole proposent une soirée événement consacrée à l'oeuvre de la cinéaste et chercheuse Gala Hernández López.

Screenwalk et rencontre le jeudi 9 à partir de 18h - Entrée dans la limite des places disponibles

 

Retirez vos places pour le screenwalk à l’Accueil du Festival au Pathé Wilson dès dimanche 5 octobre à partir de 14h30.
Puis à partir du mardi 7 octobre, à l’Accueil du Festival de la Cour Ensav-Crous de 14h à 21h

L’entrée à la rencontre ne donne pas accès à la projection des films.
Entrée libre - dans la limite des places disponibles
(1 place / personne maximum, merci de votre compréhension)

 

 

Suivi d'une projection de 3 courts-métrages de la réalisatrice à 19h15 puis d'une discussion animée par Laurence Calandri, professeure des universités en droit public à l'École de Droit de l'UT Capitole | iDETCOM, et Jérôme Ferret, Maitre de Conférences en sociologie UT Capitole | iDETCOM

+10K (2025)

For Here Am I Sitting In a Tin Can Far Above the World (2023)

La Mécanique des fluides (2022)

 

 

Photo de la réalisatrice Gala Hernandez Lopez

À mi-chemin entre la conférence et la performance, Gala Hernández López propose un voyage spéculatif et critique autour du concept de prométhéisme, en lien avec son nouveau projet de film. Celui-ci explore l’ingénierie des rêves et les imaginaires technologiques qui, depuis des décennies, cherchent à visualiser, décoder et contrôler les rêves humains. Ce screenwalk interroge donc l’élan humain à maîtriser et à éclairer les territoires les plus intimes de l’existence, nos rêves, à partir d’expérimentations photographiques du XIXe siècle et de neurotechnologies contemporaines alliées à l’IA générative. S’appuyant sur la figure du frère de Prométhée, Épiméthée, à partir de la lecture de quelques textes clés de philosophie de la technique (Stiegler, Illich), la session questionne notre enchevêtrement avec des outils technologiques qui promettent l’émancipation tout en risquant l’aliénation et qui demandent une réflexion politique profonde. À l’heure où les rêves pourraient devenir des données, peut-on préserver des zones d’opacité et d’intimité face à la capture neurocapitaliste ?